La cave

Bonjour

Aujourd’hui, je vous propose une chronique d’un livre de Natasha Preston intitulé La cave paru aux éditions Hachette Roman.

La cave

Auteur :  Natasha Preston

Année de publication : 19 avril 2017

Editions : Hachette Roman

Nombre de pages : 400 pages

Prix : 18 €

Quatrième de couverture :

A vous de découvrir la suite !

L’origine de ma lecture.

Je tiens à remercier NetGalley et les éditions Hachette Roman. Ils m’ont permis de découvrir ce triller young adult… J’ai débuté ma lecture un soir, et je dois avouer que j’ai eu de grosses difficultés à lâcher ce livre mais aussi eu très peur ensuite dans mon lit. Ce thriller psychologique m’a tenu en haleine jusqu’au bout.

AVERTISSEMENT : pour moi, ce n’est pas un livre jeunesse sans accompagnement, trop « violent », adolescent/young adult à la rigueur. Il est important d’avertir les lecteurs.

Personnages

Summer est une adolescente comme les autres qui va vivre un enfer. En effet, elle a été enlevée et est séquestrée par un homme de 30-35 ans. Elle est volontaire, déterminée, intelligente.Elle fera tout ce qui est nécessaire pour s’échapper de cet enfer sur terre. Lewis est le petit ami de Summer. Bouleversé par sa disparition, il remuera ciel et terre pour la retrouver. Hors de question de continuer à vivre sans savoir ce qui lui est arrivé. L’espoir l’aide à tenir, le pousse encore et toujours plus loin. Je me suis attachée à ses deux personnages. J’ai été subjuguée par la force de leur amour, leur soif de vivre.

C’est très rare que je sois furieuse à ce point contre le « méchant » de l’histoire. Mais, là ? En face de moi ? Je n’aurais eu qu’une envie  : le démolir. Oui même moi qui suis pacifiste. Trèfle est un homme horrible qui pense bien agir. C’est peut-être même ça le pire. Pourtant, les retours dans le passé amènent à le plaindre, par moment seulement 😉

J’ai jeté un œil par la fenêtre de ma chambre, c’était une journée d’été maussade, typiquement anglais. Les épais nuages rendaient le ciel trop sombre pour un mois de juillet. Mais ce n’est pas ça qui allait gâcher ma soirée. Pour fêter la fin de l’année scolaire, j’allais assister à un concert donné par un groupe de l’école et j’avais bien l’intention de m’éclater.

  • Tu pars à quelle heure ? m’a demandé Lewis.

Il est entré dans ma chambre en coup de vent – comme d’habitude – et  s’est installé sur mon lit. Nous étions ensemble depuis plus d’un an, il était donc très à l’aise chez moi. Parfois, je regrettais l’époque où Lewis ne m’expliquait pas qu’il allait raccrocher le téléphone parce qu’il devait filer aux toilettes ou celle où il ramassait les caleçons sales sur le sol de sa chambre avant mon arrivée. Ma mère avait raison : plus on reste longtemps avec un mec, plus il devient dégueu. Je n’aurais pourtant échangé Lewis pour rien au monde : c’est important d’accepter la personne qu’on aime telle qu’elle est, avec son désordre et tout le reste.

J’ai haussé les épaules, puis j’ai examiné mon reflet dans le miroir. Mes cheveux ne ressemblaient à rien : ils étaient plats et ne se mettaient jamais comme je voulais. Même le look décoiffé, je n’y arrivais pas. Pourtant, les tutos dans les magazines semblaient ultra simples. Tu parles.

  • Dans une minute, ai-je enfin répondu en commençant à me brosser les cheveux. Tu me trouves comment ?

On dit que le plus attirant, c’est la confiance en soi. Mais, si on en manque, on se débrouille comment ? On ne peut pas faire semblant sans que ça se remarque. Je n’étais ni canon comme un top model ni sexy comme une fille de Playboy et je n’avais pas super confiance en moi. En gros, c’était mal barré et j’avais une chance de dingue que Lewis soit miro au point de ne pas voir mes défauts.

Il a esquissé un demi-sourire et a levé les yeux au ciel avec son air qui sous-entend ça y est, elle recommence. Au début, ça l’embêtait, mais je crois qu’au bout d’un moment ça a fini par l’amuser.

  • Tu sais que je te vois dans le miroir ? lui ai-je lancé en le fusillant du regard.
  • Tu es très belle, comme toujours. Tu es sûre que tu ne veux pas que je te dépose ?

Le style de Natasha Preston est simple et accessible. La plume de l’auteur et le choix de narrateur (les protagonistes) permettent une immersion rapide. L’alternance de point de vue donne une lecture qui nous tient en haleine. En effet, en suivant les événements de la cave, ou bien la recherche donne une plus grande gravité à l’histoire. Natasha Preston ne m’a pas laissé indifférente. Bien au contraire, la tension est montée au fur et à mesure de ma lecture, j’étais crispée, tendue. Je suis passée par toutes les émotions décrites à la perfection dans La cave. En outre, les retours en arrière, dans le passé, permet de comprendre un peu mieux la psychologie de Trèfle, mais aussi donne un rythme à l’histoire. Pas d’essoufflement dans le livre comme je le craignais.

Personne ne sortira indemne de La cave.

Le plus de l’histoire : L’intrigue, le style de Natasha Preston

Le petit bémol de ma lecture : La toute fin, j’aurais aimé en savoir un peu plus 😉

Pour résumer : Angoissant ! Effrayant ! Un coup de cœur !

 

AVERTISSEMENT : pour moi, ce n’est pas un livre jeunesse sans accompagnement, trop « violent », adolescent/young adult à la rigueur. Il est important d’avertir les lecteurs.

Petit plus pour les parents ou les professionnels :

N’hésitez pas à utiliser La cave si vous souhaitez lire un thriller psychologique !

Un petit mot sur l’auteur :

Natasha Preston est une romancière anglaise.

Vous pouvez consulter son site web à l’adresse suivante : Natasha Preston.

Courez vite en librairie l’acheter ! Vous allez l’adorer !

Merci d’avoir lu l’article jusqu’au bout. N’hésitez pas à laisser un petit commentaire et à partager avec moi vos lectures ! Si cet article vous a plu, pensez à le partager ;).

Lena

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Cet article, publié dans Adolescent / Young Adult, Policier / Thriller, Thriller, est tagué , , , , , , , , , . Ajoutez ce permalien à vos favoris.